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La Lettre d'information de la Thérapie par le Son Nous vivons de plus en plus vieux, certes, mais il faut remarquer que notre santé de s'améliore pas. En fait de sont nos parents qui vivent vieux mais il est probable que nous vivrons beaucoup moins vieux qu'eux: les statistiques sont là pour nous montrer que ces fameux cancers qui n'apparaissaient qu'après 60 ou 70 ans frappent maintenant des personnes beaucoup plus jeunes. Il y a des jeunes de 35 ans qui ont l'Alzheimer; un ami de 38 ans vient d'être diagnostiqué du même cancer au cerveau qui vient d'emporter mon frère; les scléroses en plaques se multiplient; de nouvelles maladies insoignables émergent: fibromyalgie, grande fatigue, .; les acouphènes frappent de plus en plus jeune et la baisse d'audition aussi; l'autisme est certes mieux diagnostiqué mais de là à découvrir qu'il y en a 500% plus qu'on ne pensait, non! Comme je vous l'avais déjà dit dans ma lettre d'information N°7 sur les médicaments oto-toxiques, les effets secondaires des médicaments chimiques que les médecins nous prescrivent peuvent être dévastateurs et irréversibles. S'il ne s'agissait que de nous rendre sourd, ce serait là le moindre mal. Les Français sont particulièrement exposés à ces dérives, car ils consomment chaque année de deux à six fois plus de gélules et comprimés en tout genre, ronds, carrés, oblongs ou taillés en losange, que leurs voisins européens et leurs cousins d'Amérique. Un penchant hasardeux, dont les conséquences sont loin d'être sans dommage. Lorsqu’il était ministre de la Santé, le Pr Jean-François Mattei déclarait : « Nous sommes les seuls à consommer en moyenne 42 boîtes de médicaments par personne et par an », au total cela représente plus de 70 milliards de comprimés ! Chaque Français avale en moyenne trois ou quatre comprimés par jour, un à chaque repas; comme le dit le Pr Bernard Debré, « ce n’est plus de la thérapeutique, mais de l’alimentation. » "Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins, pour guérir des maladies dont ils ne savent rien", écrivait Voltaire. Un médecin, le docteur Sauveur Boukris, s'est penché sur la question. Il a écrit un livre "Ces médicaments qui nous rendent malades". Je me permets ici de vous en donner quelques extraits.
"Au Québec, le ministère de la Santé a évalué entre 10 et 15 % la proportion d'hospitalisations de personnes âgées liées aux médicaments.
[.] Selon les experts, les médicaments seraient responsables, chaque année, de près de 100 000 morts aux États-Unis et de 10 000 au Royaume-Uni. Une étude américaine publiée en 1990 estimait que 5 à 20% des admissions à l'hôpital étaient le résultat des effets indésirables des médicaments. Ce chiffre est probablement sous-estimé ! En 1998, une enquête du Journal of the American Medical Association révélait que 106 000 citoyens américains seraient morts après une utilisation de leurs médicaments dans des conditions normales, c'est-à-dire sans erreur de prescription, sans abus ni surdosage.[.] En France, on estime le nombre de décès dus aux médicaments entre 8 000 et 13 000 par an. Deux à trois fois plus que ceux dus aux accidents de la route ! On compte près de 130 000 hospitalisations par an dues à des médicaments." "Au cours des vingt-cinq dernières années, 10 % des nouveaux médicaments mis sur le marché aux États-unis ont fait l'objet de retrait du marché ou de forte mise en garde. [.] 20 millions de patients aux États-unis ont pris au moins un des cinq médicaments retirés du marché en raison de risques graves entre septembre 1997 et septembre 1998." (pensez au Vioxx, au Di-antalvic, . Une liste non-exhaustive a été jointe en en fin de document) "On connaît tous des patients âgés prenant plus de 10, voire 15 ou 20 médicaments différents, l'un pour l'arthrose, l'autre pour l'hypertension artérielle, un troisième pour dormir, un autre pour la prostate, un cinquième pour le cholestérol, etc. Il est fréquent de constater que des personnes âgées avalent leur médicament pour dormir avec leurs anxiolytiques et prennent aussi des diurétiques pour leur hypertension artérielle. L'association de tous ces médicaments augmente le risque de chute par hypotension orthostatique : le malade se lève de son lit, sa tension artérielle chute brutalement, lui fait perdre l'équilibre et il tombe ! En particulier, l'association de tranquillisants et de diurétiques expose à ce risque de chute et de fracture (du col du fémur) !" Des enfants et des adolescents traités avec des antidépresseurs "Comme chez l'adulte, les effets indésirables des médicaments survenant chez les enfants sont une cause fréquente de maladie et d'hospitalisation. Une étude allemande réalisée en 2005 a mis en évidence des effets indésirables de médicaments chez 12 % des enfants hospitalisés. On estime que 2 % des admissions d'enfants dans les services d'urgences concernent un effet indésirable médicamenteux. [.] Ce sont les enfants de moins de 1 an qui sont les plus touchés. [.] En 2005, la Caisse d'assurance-maladie de l'Aude a publié une étude réalisée à partir des demandes de remboursement de médicaments prescrits durant l'année 2001. Plus de 1 000 prescriptions concernaient des AINS [NDLR:anti-inflammatoires non stéroïdiens] dont le choix n'était pas adapté à l'âge de l'enfant. 108 prescriptions contenaient de la niaprazine (Nopron), substance classée dans la famille des antihistaminiques commercialisés pour les troubles du sommeil de l'enfant. L'âge moyen des enfants était de 1,5 an alors que le Nopron est contre -indiqué chez les enfants de moins de 3 ans ! [.] Enfin, 570 prescriptions concernaient l'eucalyptol (Calyptol inhalant). Ce médicament est contre-indiqué chez les moins de 12 ans en raison du risque de convulsions. [.] En 2003, l'Agence anglaise du médicament a estimé que 30 000 à 40 000 enfants et adolescents ont été traités par des antidépresseurs alors qu'aucun de ces médicaments n'avait obtenu d'autorisation pour cette tranche de la population!» "En 2007, en Australie, le système de pharmacovigilance a alerté les médecins sur les troubles neuropsychiatriques provoqués par le zolpidem (Stilnox), de la famille des hypnotiques. Les troubles observés sont les hallucinations (104 cas) et les amnésies (62 cas). Mais le plus grave et le plus inquiétant, c'est la survenue de somnambulisme avec des comportements étranges ou inappropriés. [.] Une patiente a été observée en train de manger devant son réfrigérateur ouvert. alors qu'elle dormait. Elle a grossi de 23 kilos en sept mois. Un patient s'est réveillé avec un pinceau dans la main : il venait de peindre la porte d'entrée en dormant ! Enfin deux autres cas ont été signalés: des patients ont conduit leur véhicule alors qu'ils dormaient!" Les effets secondaires peuvent être ravageurs "Pratiquement toutes les classes thérapeutiques peuvent induire des effets secondaires graves, voire mortels, surtout lorsqu'ils surviennent chez des personnes âgées ou fragiles. Les anti-inflammatoires utiles dans les poussées d'arthrose peuvent provoquer des hémorragies digestives ou des ulcères gastro-duodénaux. Les antalgiques aussi facilement prescrits ou consommés que le paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan, etc.) peuvent induire des hépatites graves, dont certaines sont fulminantes, voire mortelles. Les psychotropes, dont la France détient le record européen de consommation, sont responsables de 10 à 30 % des hospitalisations en urgence, surtout chez les personnes âgées. Les antibiotiques, dont là encore les Français sont les champions de la prescription, induisent des accidents cutanés de type allergique et, pour certains d'entre eux, des problèmes hématologiques ou rénaux. Il est essentiel de connaître les effets secondaires d'un médicament pour les dépister et prévenir les risques ! Il y a des effets indésirable s fréquents mais bénins ; il y a des effets secondaires rares mais graves. [.] L'acné chez les adolescents est banale ; le traitement par l'isotrétinoïne (Roaccutane) des laboratoires psychiques graves. En mars 2007, la FDA [NDLR : Food and DrugAdministration, autorité sanitaire américaine] avait déjà signalé l'existence de troubles psychiques chez des patients prenant du Roaccutane ; entre 1982 et mai 2000, elle avait recensé 37 cas de suicide (24 pendant le traitement et 13 après), 110 hospitalisations pour dépression, idées suicidaires ou tentative de suicide et 284 cas de dépression sans hospitalisation!" (Ce fut le cas de mon neveu qui eut une peau superbe et une tentative de suicide!) Des dangers du pamplemousse associé à un médicament "L'efficacité d'un médicament peut être altérée lorsqu'il est associé à des aliments qui augmentent ses effets secondaires. L'exemple le plus typique est le jus de pamplemousse ! L'absorption intestinale de certains médicaments est régulée par la présence d'une molécule chimique appelée cytochrome P450. Certaines substances contenues dans le pamplemousse [.] augmentent l'absorption intestinale des médicaments. Les conséquences sont une majoration de leurs effets secondaires équivalant à un surdosage ! Les médicaments à risque sont la simvastatine (Lodales et Zocor) utilisée pour faire baisser le taux de cholestérol dans le sang et, dans une moindre mesure, l'atorvastatine (Tahor). Un jus de pamplemousse pris en même temps que la simvastatine peut multiplier par 15 l'absorption du médicament et provoquer des atteintes musculaires graves ! Des cas de rhabdomyolyses (destruction des cellules musculaires) ont été décrits lors de l'association de statines (médicaments contre le cholestérol) avec le jus de pamplemousse. De même, la prise simultanée de jus de pamplemousse et de traitements immunosuppresseurs préconisés contre le rejet de greffes risque d'endommager le rein!" (Mais penserez-vous à dire à votre médecin que vous avez mangé du pamplemousse? Et surtout votre médecin vous a-t-il prévenu du risque en vous donnant un médicament contre votre cholestérol?) "En France, depuis le 1er juillet 2008, la vente de certains médicaments est autorisée en accès libre au public. Les laboratoires ont fait pression pendant des années auprès des pouvoirs publics pour accéder à ce marché de près de 2 milliards d'euros et de 423 millions de boîtes vendues en 2007. [.] Les avantages pour les compagnies pharmaceutiques sont surtout financiers, car les prix des médicaments d'automédication sont libres (ce qui permet de réaliser des marges substantielles), et ces médicaments peuvent faire l'objet de communication auprès du grand public. [.] Pour que l'automédication soit efficace, il faut que les patients ne soient pas trop malades (ni trop fragiles). [.] Prenons l'exemple du mal de gorge. [.] Si le malade utilise des anti-inflammatoires comme l'Ibuprofène, cela n'est pas sans risque. [Ce produit peut] altérer la fonction rénale et chez les patients cardiaques ou déshydratés, ou chez ceux prenant déjà des médicaments, l'insuffisance rénale peut être grave." Certains médicaments provoquent des crises de foie "Le foie est l'organe du corps humain particulièrement visé par les médicaments car c'est souvent là que passent les métabolites. C'est la grande usine d'épuration des produits en général et des médicaments en particulier. De tous les cas d'hépatite aiguë, 10 % sont d'origine médicamenteuse. Chez les femmes de plus de 50 ans, ce chiffre atteint 40%. [.] Le nombre de médicaments incriminés dans des cas d'hépatite approche le millier. Les spécialistes sont formels : devant une hépatite d'origine indéterminée, tout médicament doit être suspecté!" "Les dépenses de promotion réalisées par l'industrie pharmaceutique en France sont estimées à 12 ou 13 % du chiffre d'affaires, soit près de 3 milliards d'euros. La grande majorité de ce budget est consacrée à la visite médicale (75,8 %), puis vient la publicité (13,4 %), les congrès (8,6 %) et les échantillons (2,2 %). [.] La visite médicale est une véritable machine de guerre. Une enquête réalisée en 2007 sur 60 000 médecins généralistes montre que 20 % d'entre eux ont reçu plus de 40 visites dans le mois, 45 % de 11 à 40 visites et 32 % de 1 à 10 visites. Seuls 3,2 % des médecins interrogés n'ont reçu aucune visite dans le mois. On estime à 330 le nombre moyen de visites reçues chaque année par un médecin généraliste, soit 33 par mois environ, soit près de 2 par jour ! [Les visiteurs médicaux] étaient 9 000 durant l'année 1975 et sont passés à 17 500 en 1998 puis à 21 000 en 1999 pour atteindre 23250 en 2005. [.] Aux États-unis, dans l'affaire Vioxx, la commission de la Chambre des représentants, en analysant la stratégie commerciale du produit, a montré que le laboratoire avait donné des directives à son réseau de visite médicale pour minorer les risques cardio-vasculaires du médicament." "La question de l'impact des conflits d'intérêts est rarement abordée en France dans les milieux médicaux. De quoi s'agit -il ? De relations étroites et financières entre les professionnels de santé et l'industrie pharmaceutique. La question qui se pose est de savoir si les experts appelés par les autorités sanitaires ont des intérêts particuliers dans les firmes pharmaceutiques. A tous les échelons de l'élaboration du médicament, les relations entre experts et firmes pharmaceutiques sont très étroites, et ce qui les rapproche est sonnant et trébuchant ! [L'Afssaps] fait appel à des experts pour évaluer les médicaments. En 2005, elle a eu recours à 1 800 experts externes qui devaient déclarer les intérêts financiers qui les unissaient avec les firmes pharmaceutiques. Si l'on analyse le rapport des déclarations d'intérêt 2005, on observe que 135 experts (soit 12 %) n'ont jamais fait parvenir de déclarations d'intérêt ! 283 ont déclaré n'avoir aucun lien avec une entreprise du médicament. (Si je calcule bien, cela fait 1382 experts ayant des intérêts financiers avec les laboratoires pharmaceutiques, soit pratiquement 77%!!!!!!! Une belle majorité qui permet de mettre n'importe quoi sur le marché) Un grand nombre d'experts sollicités et consultés sont liés à l'industrie pharmaceutique : 30 % ont plus de cinq contrats en cours avec les laboratoires et 10 % en sont actionnaires ! [.] En Angleterre, sur les 38 membres de la Commission nationale de pharmacovigilance du Royaume-Uni, 19 ont reçu des paiements directement de la part des firmes pharmaceutiques et, sur les 19 qui n'avaient pas d'intérêt personnel, 10 ont déclaré avoir reçu des fonds de façon indirecte." (Donc plus de la moitié étaient payés par les laboratoires pharmaceutiques!) "En 2002, les dix principales firmes pharmaceutiques ont investi 55,8millions de dollars dans leur travail de lobbying aux États-Unis. Au Congrès américain, on compte 675 lobbyistes qui travaillent pour les intérêts de l'industrie pharmaceutique, soit sept lobbyistes pour chaque sénateur ! Que se passe-t-il en Europe ? Plus de 3000 groupes d'intérêts disposent d'un bureau permanent dans le centre de Bruxelles. En 1992, la Commission européenne estimait que plus de 10 000 lobbyistes professionnels étaient actifs à Bruxelles ou à Strasbourg ! Actuellement, 500 grandes entreprises ont leur propre représentation à Bruxelles. 130 bureaux d'avocats se sont spécialisés dans les affaires juridiques européennes." "Comme toutes les institutions européennes, l'Agence européenne du médicament [Emea] est tenue à la transparence de ses décisions. La réalité est bien différente : les documents publiés, les Epar (European public assessment reports), ne font jamais état des divergences d'opinion entre les experts. Par conséquent, si une minorité (ceux qui n'ont sans doute pas d'intérêts financiers avec les laboratoires) est en désaccord avec la décision prise, les professionnels de la santé et les patients n'en savent rien ! Autre remarque : les décisions concernant les effets indésirables des médicaments, le retrait du marché, les interactions médicamenteuses sont émises sans justification et sans que les médecins ou les patients puissent avoir accès au moindre document ! Cette opacité des institutions, ce manque de transparence, le fait que les rapports sur la surveillance des effets indésirables des médicaments ne soient pas rendus publics, jette un discrédit sur l'institution qui prend des décisions et entretiennent le doute sur la fiabilité des mesures prises. [.] Par ailleurs, les agences du médicament, qu'elles soient nationales ou européenne, dépendent financièrement des firmes pharmaceutiques ; ce sont les industriels du médicament qui versent des redevances lors des demandes de mise sur le marché. Ces redevances représentent plus de 70 % du budget de ces agences. La part industrielle du budget de l'Emea est passée de 53% en 1998 à 69,46 % en 2002 et à plus de 70 % aujourd'hui!" Les labos créent des malades imaginaires "Les laboratoires mettent au point des médicaments pour combattre des maladies mais fabriquent aussi des troubles pour développer un marché pour leurs médicaments. Les laboratoires pharmaceutiques inventent des médicaments pour sauver des vies humaines et réduire les souffrances, mais ils ne se contentent pas de vendre à ceux qui en ont besoin. Grâce à des budgets publicitaires colossaux et des campagnes de promotion efficaces, les firmes pharmaceutiques jouent sur nos peurs : peur de la mort, de la maladie, de la déchéance physique ou psychique, pour vendre des médicaments ! (Cf. la psychose de la grippe H1N1!) Des troubles mineurs sont décrits comme des affections graves : la timidité, par exemple, devient un trouble d'anxiété sociale, la tension prémenstruelle devient un trouble dysphorique prémenstruel. Être un sujet à risque pouvant développer une pathologie devient une pathologie en soi ! (lisez ou relisez "le Docteur Knock": "La santé est un état précaire qui ne présage rien de bon!") Les stratégies marketing des firmes pharmaceutiques ciblent ainsi les bien-portants. [.] Un exemple de ce dérapage des laboratoires est celui du marché du dysfonctionnement sexuel féminin. Il fallait y penser ! Après le succès du sildénafil (Viagra), lancé en 1998, où le laboratoire Pfizer a vendu, dans le monde, plus de 1,5 milliard de ces pilules bleues, ce même laboratoire a voulu multiplier par deux son marché en cherchant l'équivalent pour les femmes." « Ces médicaments qui nous rendent malades » du Dr. Sauveur Boukris, aux éditions Le Cherche Midi. C’est le Professeur Philippe Even, pneumologue, ancien doyen de la faculté Necker-Enfants malades, Président de l’Institut Necker, qui a rédigé la Préface de cet ouvrage de 282 pages, 18 euros, de la collection Document qui comporte – c’est à souligner- des références bibliographiques venant conforter les observations de 20 ans d’exercice de la médecine dans le quartier populaire de La Chapelle.
Voilà pourquoi je ne consulte plus que des médecins de médecine naturelle, homéopathes, acupuncteurs, aromathérapeutes ou phytothérapeutes, voilà pourquoi j'essaye toutes les médecines parallèles ou alternatives, voilà pourquoi j'ai essayé la thérapie par le son et que je l'ai adoptée car elle peut améliorer bien des choses dans notre fonctionnement. Tous les médicaments ne sont pas néfastes, Dieu merci, mais il est préférable d'être responsables et de savoir ce qu'on ingurgite. Cela permet de faire un choix entre ce qu'on a à soigner et les effets secondaires qui peuvent en résulter.
2- GLANÉ POUR VOUS
Dans le même ordre d'idée, vous avez le livre "Les Médica-menteurs" par Stéphane Horel, journaliste indépendante et documentariste. Elle a publié également "La Grande Invasion, enquête sur les produits qui intoxiquent notre vie quotidienne" aux Editions du Moment (2008). En 2009, elle a réalisé le documentaire Les Médicamenteurs avec Annick Redolfi et Brigitte Rossigneux. Vous pouvez en voir un extrait "Patients si vous saviez, Confession d'un médecin généraliste" du Dr. Christian Lhemann.
"Les inventeurs de maladies, manœuvres et manipulations de l'industrie pharmaceutique" par Jörg Blech, biologiste de formation, et qui est aujourd'hui un journaliste et écrivain scientifique reconnu en Allemagne. Il a publié un deuxième livre, "Ces traitements dont il faut se méfier" (2007). Et pour faire vacciner vos enfants en toute connaissance de cause:"Qui aime bien vaccine peu" (2009), chaque maladie est décrite avec ses risques, les noms et compositions des vaccins, les risques qu'ils comportent et les recommandations médicales. Si vous arrivez à les trouver: "Vaccin ROR, parents vous êtes concernés" (1987, "Campagne de vaccination contre l'hépatite B: parents et adolescents vous êtes concernés" (1998), "Vaccinations, pour un choix personnalisé" (2000), "Méningites et vaccination - Entre peur et raison, comment choisir" (2002). Les auteurs de ces ouvrages font partie du groupe médical de réflexion sur les vaccins de Suisse Romande. Ils sont médecins (généralistes ou pédiatres) et homéopathes et ont l'habitude de soigner les enfants dès la naissance. Drs. Nathalie Calame, François Choffat, Françoise Berthoud, Pascal Büchler, Jean-Paul Ecklin.
Liste des médicaments retirés du marchéCette liste est très incomplète. Cette année et l'année dernière, les médicaments suivants ont été aussi retirés du marché:- les gels anti-inflammatoires des laboratoires Menarini, Sanofi Aventis et Sandoz.
- Argicilline, - Ergix Mal de Gorge, - Locabiotal, - Lysopaïne, - Oropivalone, - Pharmacilline, - Solutricine, - Tyrotricyl, - Veybirol tyrothricine, pour manque d'efficacité (pas grave)- Di-antalvic- Dialgirex- Dioalgo- Dextroref- Didolko- Propofan, et les génériques de ces 6 derniers médicaments, pour effets indésirables graves pouvant être mortels.
- EXOMUC NOURRISSON 100 mg, sachets (Bouchara Recordati) - FLUIMUCIL NOURRISSON 100 mg, sachets (Zambon France)- MUCOMYST NOURRISSONS 100 mg/5, poudre pour suspension buvable (Bristol-Myers Squibb) Une dizaine d'autres médicaments pour les nourrissons sont sur la sellette. A ne pas donner aux enfants de moins de 2 ans:- BRONCATHIOL E&N, solution buvable (Hepatoum/Tonipharm) - BRONCHOKOD E&N, sirop - BRONCHOKOD SS E&N 2 %, solution buvable édulcorée (Sanofi-Aventis) - BRONKIREX SS 2 % E&N, sirop édulcoré (Sanofi-Aventis) - CARBOCISTEINE BIOGARAN 2 % E&N SS, solution buvable édulcorée (Biogaran) - CARBOCISTEINE E.G. 2 % ENFANTS, sirop (EG labo) - CARBOCISTEINE MYLAN 2 % E&N SS, solution buvable édulcorée (Mylan) - CARBOCISTEINE MYLAN 2 % ENFANTS, sirop (Mylan) - CARBOCISTEINE RATIOPHARM CONSEIL 2 % E&N, sirop (Ratiopharm) - CARBOCISTEINE SANDOZ CONSEIL 2 % E&N SS, solution buvable édulcorée - CARBOCISTEINE SANDOZ CONSEIL 2 % E&N, sirop (Sandoz) - CARBOCISTEINE TEVA CONSEIL 2 % E&N SS, solution buvable édulcorée - CARBOCISTEINE TEVA CONSEIL 2 % E&N, sirop (Teva Santé) - CARBOCISTEINE WINTHROP 2 % E&N SS, sirop édulcoré (Sanofi-Aventis) - CLARIX EXPECTORANT CARBOCISTEINE 2 % E&N, sirop (Cooper) - FLUIMUCIL 2 % E&N, solution buvable (Zambon France) - FLUISEDAL SANS PROMETHAZINE, sirop, (Elerte) - FLUVIC E&N 2 %, sirop - FLUVIC SS E&N 2 %, édulcorée (Pierre Fabre Médicament) - HELICIDINE 10%, sirop (Therabel Lucien Pharm) - MEDIBRONC ENFANTS, sirop (Merck médication familiale) - MUCICLAR 2 % E&N, sirop (McNeil Santé Grand Public) - RHINATHIOL EXPECTORANT CARBOCISTEINE 2 % E&N SS, sirop édulcoré (Sanofi-Aventis) - RHINATHIOL EXPECTORANT CARBOCISTEINE 2 % E&N, sirop (Sanofi-Aventis) - SOLMUCOL 100 mg, sachets (Genevrier) - Sibutral: obésité; risques cardiovasculaire.
- Réductil: obésité; risques cardiovasculaires et cérébraux; retiré, après 10 ans de méfaits, il y a quelques mois.
- Acomplia: obésité; provoque dépression, troubles du sommeil, anxiété.
Quelques noms et histoires de médicaments retirés entre 1997 et 2000 aux États-Unis avec leurs résultats !Rezulin: le rapporteur était contre. Son rapport a été supprimé et il a été renvoyé. Mis sur le marché en 1997. Retiré du marché en Grande Bretagne quelques mois plus tard. Ne fut retiré du marché US qu'en 2000 après 361 morts par arrêt de fonctionnement du foie.
Lotronex: pour traiter la diarrhée; retiré du marché après 5 mois, 6 décès et 93 hospitalisations et interventions chirurgicales pour occlusion intestinale. Remis sur le marché en 2002 mais toute personne utilisant ce médicament doit signer un papier au médecin, comme quoi elle a été informée des conséquences possibles.
Propulsid: 100 morts pour arythmie cardiaque.
Redux: contre l'obésité. provoqua des atteintes des valvules cardiaques et des atteintes pulmonaires létales.
Posicor: hypertension artérielle; 123 morts en moins d'un an. Problèmes d'interaction médicamenteuse avec 25 antres médicaments courants, antibiotiques, antihistaminiques, .
Exolise: obésité; atteintes hépatiques graves.
Remarque: les médicaments contre l'obésité sont très sujets à caution. Faites du sport, cela vaut mieux à tous points de vue. Suivez un régime préhistorique cela vous permettra de ne pas être déprimée, de manger plus qu'à votre faim et de retrouver votre silhouette pour cet été.
Cette lettre d'information peut être transmise à toutes les personnes à qui vous pensez que ces informations peuvent être utiles.

Source: http://www.therapie-par-le-son.com/Newsletters/Sound_News_fr_20.pdf

Biogaskin

INA MAY GASKIN (USA) „. . weil sie Geburtsmethoden lehrt und verbreitet, die Frauen in den Mittelpunkt stel en und die körperliche wie geistige Gesundheit von Mutter und Kind fördern.“ Ina May Gaskin wird häufig als die „berühmteste Hebamme der Welt” bezeichnet. Als Pionierin eines uralten, in ihrem Land vom Aussterben bedrohten Berufes vereint sie wissenschaftliche Ana

Doi:10.1080/00036810500230628

Communication Research ReportsVol. 22, No. 3, August 2005, pp. 217 Á/226Perceived Instructor Credibility andTeaching PhilosophyMaria Brann, Chad Edwards, & Scott A. MyersThe purpose of this study was to examine whether perceived instructor credibility(i.e., competence, character, caring) differs based on instructor teaching philosophy. Participants were 244 students who read a short vigne

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